"Cette démission est la décision de Brigitte Henriques. J’en prends acte, et je la respecte.
Au terme d’une période qui aura été particulièrement éprouvante pour l’institution et ses principaux acteurs, je sais combien la douleur de Brigitte est grande. C’est une femme de conviction, une femme engagée, passionnée, courageuse. Elle restera à jamais la première présidente de l’histoire du CNOSF et je salue son action ancrée depuis longtemps au service du sport français.
Il n’y a pas de vainqueur aujourd’hui.
Mais il peut y avoir une victoire, celle du sursaut éthique et démocratique du CNOSF, qui doit maintenant se rassembler, rebondir avec le chemin institutionnel et démocratique qu’il choisira lors de cette AG en conformité avec ses statuts, tout en focalisant ses équipes et toutes les parties prenantes sur la préparation et la bonne livraison des Jeux, qui sont notre objectif primordial. Dès mardi soir, je réunirai au ministère le bureau exécutif du CNOSF pour faire le point, au terme de cette AG, sur les prochaines étapes et l’accompagner dans cette phase de transition, dans le respect de l’autonomie du mouvement sportif et avec détermination et sérénité. J’ai confiance dans la résilience du sport français, et suis plus que jamais à ses côtés."