Il s’agit en France comme à l’étranger :
- De comprendre les impacts du sport sur les ODD et plus particulièrement sur l’environnement ;
- De partager les bonnes pratiques d’écoresponsabilité de l’écosystème sportif ;
- D’accompagner les acteurs de l’écosystème sportif pour accélérer leur transition écologique.
Les engagements portent sur l’alimentation responsable, la mobilité durable, la gestion des déchets, la consommation d’eau et d’énergie, la protection des espaces naturels, la biodiversité...
Transition écologique
Qu’il se pratique en intérieur ou en extérieur, en amateur ou en tant que professionnel, le sport a un impact direct et indirect sur l’environnement, le climat et la biodiversité à travers les déplacements qu’il occasionne, l’utilisation de ressources naturelles qu’il induit, les atteintes aux espaces naturels qu’il provoque, les déchets qu’il génère, etc. Les impacts sont aujourd’hui de plus en plus documentés, et appellent à des actions.
Par exemple, selon l’Ademe, une manifestation-type de 5 000 personnes génère en France plus de 2,5 tonnes de déchets, consomme plus de 1 000 kWh d'énergie et 500 kg de papier.
Le ministère des Sports, Paris 2024 et le CNOSF présentent le « Coach Climat évènements » pour accompagner les évènements sportifs dans la réduction de leur empreinte carbone.
Transition écologique
Optimouv est une solution innovante pour réduire les gaz à effets de serre générés à l’occasion des déplacements du mouvement sportif.
Pratiques écoresponsables
Conscient de son impact sur l’environnement, l’écosystème sportif est déjà mobilisé et de nombreux acteurs se dotent d’une stratégie de développement durable. Le partage de ces stratégies et bonnes pratiques participe activement à la transformation de l’écosystème sportif et encourager la mobilisation de chacun des acteurs sur les territoires. Plusieurs initiatives de ce type existent déjà :